samedi 31 janvier 2015

Saint FRANCESCO SAVERIO MARIA (FRANÇOIS-XAVIER-MARIE) BIANCHI, prêtre barnabite et mystique


Saint François-Xavier-Marie Bianchi, prêtre

Né en 1743 à Arpino dans le Latium, François-Xavier-Marie Bianchi fait preuve d'une intelligence précoce et manifeste une grande pureté. Entré chez les Barnabites qui avaient été ses maîtres, il est nommé professeur à Naples, mais il préfère cependant le ministère de la confession et de la direction spirituelle. Aimant le silence et la vie en cellule, il accepte par obéissance des charges pastorales dont il s'acquitte en apôtre du Christ; il y récolte de nombreux fruits dus à l'exemple de sa sainte vie et au soutien du Seigneur qui le comble de charismes et de grâces extraordinaires. Les jambes couvertes de plaies, il passait de longues heures au confessionnal et après des années de patiente souffrance, il meurt le 31 janvier 1815.

SOURCE : http://www.paroisse-saint-aygulf.fr/index.php/prieres-et-liturgie/saints-par-mois/icalrepeat.detail/2015/01/31/2395/-/saint-francois-xavier-marie-bianchi-pretre

Saint François-Xavier Bianchi

Barnabite ( 1815)

Dévoué aux pauvres et aux abandonnés ainsi qu'à la protection des filles contre une vie immorale, il devint malade et perdit l'usage de ses jambes. Il passait de longs moments à confesser. Il a été appelé "l'apôtre de Naples".

Canonisé en 1951.

À Naples en Campanie, l’an 1815, saint François-Xavier-Marie Bianchi, prêtre de l’Ordre des Clercs réguliers de Saint Paul. Riche de dons mystiques, il conduit beaucoup de personnes à vivre avec lui sous la grâce de l’Évangile.

Martyrologe romain

SOURCE : http://nominis.cef.fr/contenus/saint/533/Saint-Francois-Xavier-Bianchi.html

François-Xavier-Marie Bianchi naquit à Arpino en Campanie le 2 décembre 1743. « Élevé dans l'aisance — explique le Pape Pie XII —, avec une solide instruction et une culture de choix, a tout ce qui peut rendre un jeune homme aimable et agréable, et son innocence lui aurait gagné l'affection universelle si, en revanche, elle ne lui avait attiré le sarcasme et l'hostilité de personnes, dont la mauvaise conduite et les propos malhonnêtes offensaient sa conscience délicate. Ce fut pour ainsi dire un miracle qu'il ait passé indemne à travers cette fournaise. Déjà son cœur est à Dieu, résolu à se donner à Lui »

Mais cela ne va pas sans quelques difficultés, comme le souligne Pie XII dans l’homélie de la canonisation : « il ne se libère, que progressivement, lentement, de l'attachement trop naturel à sa famille, aux études profanes, aux diverses petites satisfactions innocentes, en contraste avec la mortification religieuse totale, vers laquelle il tendra graduellement, mais sans pause, jusqu'à ce que la main divine le dépouille complètement de tout ce qui pouvait encore rester en lui de sensible dans les plus saintes affections. Il avance courageusement et Dieu l'aide, en le purifiant dans le creuset de la souffrance : souffrance du corps, de l'esprit et du cœur, mais souffrance acceptée, aimée, embrassée ».

« Malgré l'opposition de ses parents, et en dépit de grandes difficultés matérielles, il réussit, éclairé par une céleste lumière et nanti du secours de Dieu, à vaincre et à surmonter tous les obstacles. Il entra finalement dans l'Institut des Clercs Réguliers de Saint-Paul et il mena dès lors une vie plus angélique qu'humaine ».

C’est là que va se développer sa spiritualité, son désir indomptable de marcher résolument vers Dieu. En effet, comme le souligne Pie XII, « sa soumission aux règles de cet Institut religieux était toujours prompte, active et joyeuse : il refrénait durement et foulait aux pieds les convoitises et les plaisirs du corps afin de donner plus de facilité à son âme de s'élever aux choses d'en-haut ; il se livrait volontairement et de grand coeur aux macérations corporelles et, ce qui est le plus important, il était si étroitement et si continuellement uni à Dieu qu'il n'avait pas de plus ardent désir ni de plus grande joie que de passer à genoux devant le tabernacle de longues mais très douces heures dans l'adoration ».

François-Xavier est un contemplatif, une âme avide de Dieu : « il l'aime d'un amour surnaturel — c’est toujours S. S. Pie XII qui affirme —, mais la chère habitude du silence et de la solitude est devenue en lui comme une seconde nature. Il ne faut pas qu'elle devienne à son tour comme une nouvelle inclination, sainte en elle-même, mais plus ou moins docile aux attraits des goûts sensibles. Et c'est ainsi que la divine Providence, par l'intermédiaire de ses Supérieurs religieux, l'applique aux charges les plus variées et les plus difficiles ».

« Professeur, conférencier, Supérieur de ses frères en religion, partout il est l'homme de Dieu, l'apôtre du Christ ». (…) Il se distingua à Naples au service des œuvres de charité où il déploya un zèle surnaturel très remarquable.

Et, bien entendu, « la renommée de sa sainteté s'étendit tellement que tant les plus humbles que les personnages les plus élevés en dignité venaient nombreux vers lui pour lui ouvrir leur conscience et recevoir de lui des directions, des exemples et des encouragements pour bien vivre. Il n'est donc pas étonnant qu'on lui ait donné ce titre honorifique « d'homme de conseil » ni qu'il ait pu, avec la grâce de Dieu, opérer tant de conversions, pousser et diriger dans les voies de la perfection chrétienne avec tant de sagesse ceux qui étaient déjà entrés dans le chemin de la vertu ».

Il avait ce charisme très particulier : « Il faisait sentir Dieu, même quand il n'en parlait pas, tellement il possédait l'art de faire tourner au profit spirituel jusqu'aux discussions sur des matières profanes. Son apostolat commence discrètement à s'exercer dans un domaine restreint, mais tout en force et en profondeur ; c'est l'apostolat de la direction spirituelle des âmes de choix, dans le confessionnal et au moyen de la correspondance épistolaire ; cependant, bientôt le nombre de ceux qui accourent à lui augmente de telle sorte que certains doivent se contenter d'entrevoir, au moins rapidement, son visage de saint.

Le Seigneur appuie son action par des grâces extraordinaires, par les charismes des prodiges et des prophéties. En réalité, son union avec Dieu, ses souffrances héroïquement aimées ont fait de lui l'apôtre de Naples, que certains n'ont pas hésité à comparer à saint Alphonse de Liguori ».

Il mourut le 31 janvier 1815 à la suite d'une pénible maladie qu'il supporta avec un courage exemplaire durant de nombreuses années.

Le Bienheureux avait été béatifié par Léon XIII le 22 janvier 1893.

Sa Sainteté Pie XII le canonisa le 20 octobre 1951.
Alphonse Rocha

Saint François-Xavier-Marie BIANCHI

Nom: BIANCHI
Prénom: François-Xavier-Marie
Nom de religion: François-Xavier-Marie
Pays: Italie

Naissance: 02.12.1743  à Arpino (Campanie)
Mort: 31.01.1815  à Naples

État: Prêtre - Barnabite
Note: Se dévoue à Naples au service des œuvres de charité. Malade de nombreuses années

Béatification: 22.01.1893  à Rome  par Léon XIII
Canonisation: 21.10.1951  à Rome  par Pie XII
Fête: 31 janvier

Réf. dans l’Osservatore Romano:
Réf. dans la Documentation Catholique: 1951 col.1555-1562

Notice

Né en 1743 à Arpino dans le Latium, François-Xavier-Marie Bianchi fait preuve d'une intelligence précoce et manifeste une grande pureté. Entré chez les Barnabites qui avaient été ses maîtres, il est nommé professeur à Naples, mais il préfère cependant le ministère de la confession et de la direction spirituelle. Aimant le silence et la vie en cellule, il accepte par obéissance des charges pastorales dont il s'acquitte en apôtre du Christ; il y récolte de nombreux fruits dus à l'exemple de sa sainte vie et au soutien du Seigneur qui le comble de charismes et de grâces extraordinaires. Les jambes couvertes de plaies, il passait de longues heures au confessionnal et après des années de patiente souffrance, il meurt le 31 janvier 1815.

SOURCE : http://www.abbaye-saint-benoit.ch/hagiographie/fiches/f0073.htm

S. François-Xavier Bianchi, « l’apôtre de Naples »

Ami des pauvres et mystique

31 janvier 2013 


Le martyrologe romain fait aujourd’hui mémoire de saint François-Xavier Bianchi, prêtre italien et « apôtre de Naples » (1745-1815).

Prêtre de la Congrégation des clercs réguliers de Saint-Paul, c’est-à-dire des Barnabites, François-Xavier Bianchi se montra soucieux des pauvres, des malades, et de protéger les jeunes filles contre les dangers d’une vie immorale. Il était aussi un homme de prière favorisé de dons mystiques, et un directeur spirituel recherché.

Natif d’Arpino, il était entré chez les Banrabites à l’âge de 19 ans, malgré l’opposition de sa famille, et avait été ordonné prêtre en 1867. Il devint par la suite professeur et membre de l’académie de Naples. Mais un excès de travail et l’austérité de sa vie ruinèrent sa santé, si bien qu’il perdit l’usage de ses jambes.

Cela ne l’empêcha pas de consacrer de longues heures à répandre la miséricorde de Dieu par le sacrement de la confession. Sa vie d’union au Christ se manifesta par son don d’intercession qui obtint des miracles de son vivant. Il avait aussi le don de prophétie.

Sa dépouille repose aujourd’hui à Naples en l’église Saint-Joseph de Pontecorvo. Il a été canonisé par Pie XII en 1951.

SOURCE : http://fr.zenit.org/articles/s-francois-xavier-bianchi-l-apotre-de-naples/

Francis Xavier Bianchi, Barn. (AC)

Born in Arpino, Italy, 1743; died in Naples, January 31, 1815; canonized in 1951. Saint Francis studied in Naples, was tonsured at 14 and, despite his father's objections, joined the Congregation of Clerks Regular of Saint Paul (the Barnabites). After his ordination in 1767, Francis served as president of two colleges, and became famous for his gift of prophecy and the miracles credited to him (he is reported to have stopped the flow of lava from the erupting Vesuvius in 1805). He was considered and acclaimed 'Apostle of Naples' for his work among the poor and abandoned and to preserve girls from the danger of an immoral life. Owing to overwork and to his austere lifestyle, he ruined his health and lost the use of his legs. Unable to be moved because of his health, he was left alone at his college when his order was expelled from Naples and died there. He inspired boundless veneration in Naples and miracles were attributed to him (Attwater2, Benedictines, Coulson, Delaney).


SOURCE : http://www.saintpatrickdc.org/ss/0131.shtml

St Francis Xavier Mary Bianchi

by Enrico Reffo 1831-1917 

Prayer to St. Francis Xavier Mary Bianchi

God, our Father, 
through the deep charity of 
St. Francis Xavier Mary Bianchi, 
you wanted to attract your people to your love. 
Help us now, through his intercession and 
by his example, to come to recognize and 
love you in our brothers and sisters. 
We ask this through our Lord Jesus Christ, 
your Son, who lives and reigns with you 
in the unity of the Holy Spirit, 
one God, for ever and ever. 
   Amen. 

SOURCE : http://barnabiteholiness.blogspot.ca/p/saint-francis-xavier-bianchi.html

Saint Francesco Saverio Maria Bianchi

Also known as
  • Apostle of Naples
  • Francis Xavier Bianchi
Profile

Studied in Naples, Italy. Joined the Barnabite at age 14 over the objections of his family. Ordained in 1767. Served as the president of two colleges. Noted for his endless ministry to the poor and neglected, his work to prevent girls from turning to prostitution, for his personal austerities, his gift of prophecy, and as a miracle worker. Reported to have stopped the flow of lava from Mount Vesuvius in 1805. His health destroyed by overwork, late in life he lost the use of his legs, but continued to work with those whom he felt were worse off than himself. When the Barnabites were expelled from Naples, his health was so poor that he had to be left behind, and he died separated from his brothers.

Born

SOURCE : http://catholicsaints.info/saint-francesco-saverio-maria-bianchi/

San Francesco Saverio Maria Bianchi Barnabita


Arpino (Frosinone), 2 dicembre 1743 – Napoli, 31 gennaio 1815

Nato ad Arpino, nel Frusinate, il 2 dicembre 1743, Francesco Saverio Maria Bianchi studiò nel Seminario di Nola e all'università di Napoli. Nel 1762 entrò nell'Ordine dei Barnabiti e proseguì gli studi a Macerata, Roma e ancora Napoli dove fu ordinato sacerdote nel 1767. Dedicatosi all'insegnamento rivestì importanti incarichi. Ma oltre che allo studio si dedicò alle opere di carità. Dedito alla penitenza non vi rinunciò neanche quando fu colpito da una misteriosa malattia alle gambe che lo immobilizzò negli ultimi tredici anni della sua vita: anzi, negli ultimi tre anni riuscì prodigiosamente a celebrare Messa reggendosi in piedi sulle gambe gonfie e piagate. Morì a Napoli il 31 gennaio 1815. Leone XIII lo beatificò il 22 gennaio 1893 e Pio XII lo canonizzò il 21 ottobre 1951. Il suo corpo è conservato nella chiesa di Santa Maria di Caravaggio a Napoli. (Avvenire)

Martirologio Romano: A Napoli, san Francesco Saverio Maria Bianchi, sacerdote dell’Ordine dei Chierici regolari di San Paolo, che, ricco di doni mistici, indusse molti a vivere con lui nella grazia del Vangelo.

Papa Leone XIII lo proclamò nel 1893 “Apostolo di Napoli”. Francesco Saverio Bianchi nacque ad Arpino (Frosinone) il 2 dicembre 1743, crebbe in un’atmosfera di vita fervorosa e di carità verso il prossimo, infatti sua madre aveva trasformato parte della casa in un piccolo ospedale di sedici letti, per ammalati poveri e senza assistenza. 


L’adolescenza la trascorse con i pregi e i difetti tipici dell’età, lui stesso si confessa goloso e commettendo anche piccoli furterelli di denaro in casa; come si vede, contrariamente alle biografie tradizionali, la santità in Francesco Saverio Bianchi, appare come una conquista lenta e sicura della sua volontà. 

La sua vita fu tutto un conoscere e frequentare altre figure sante della spiritualità napoletana, cominciando con s. Alfonso Maria de’ Liguori, conosciuto nel seminario di Nola, che frequentava per studio nel 1758; frequentò anche l’Università di Napoli per gli studi di Diritto. 

Vinte le iniziali resistenze dei genitori, finalmente nel 1762, riuscì ad entrare nell’Ordine dei Barnabiti fondato da s. Antonio Maria Zaccaria, nel 1530 a Milano, professando i voti nel 1763 nel noviziato di Zagarolo. 

Continuò gli studi filosofici e teologici prima a Macerata poi a Roma e Napoli, dove fu ordinato sacerdote nel 1767; per un paio d’anni insegnò ad Arpino poi a Napoli, dove restò fino alla morte. La sua fama di dotto barnabita gli diede vari incarichi di prestigio che espletò con grande capacità. Superiore per 12 anni del Collegio di S. Maria in Cosmedin a Portanova; professore straordinario dal 1778 nella Regia Università; socio della Reale Accademia di Scienze e Lettere e dell’Accademia Ecclesiastica. 

Ben presto fu conosciuto come un santo, perché sempre più in lui avveniva la sostituzione degli studi e della frequentazione dei circoli degli eruditi, con le opere di carità, la contemplazione e l’apostolato specie fra gli umili del suo quartiere. 

Il cambiamento di vita porta, secondo i biografi, la data del giorno di Pentecoste del 1800, cioè dall’estasi da lui avuta davanti al S.mo Sacramento solennemente esposto nella chiesa del Divino Amore; da quel giorno si inasprirono le sue penitenze e l’impegno nell’apostolato divenne totale. 

Non si arrestò neanche quando una misteriosa malattia alle gambe lo immobilizzò per gli ultimi tredici anni della sua vita; a questo punto divenne ancora di più il formatore di anime elette e sante. 

Dal 1777 al 1791 fu confessore di s. Maria Francesca delle Cinque Piaghe (la santa dei Quartieri Spagnoli di Napoli); intorno a lui si formarono alla santità i venerabili Placido Baccher, Mariano Arciero, Francesco Maria Castelli, Giovanni Battista Jossa, il servo di Dio Agnello Coppola. 

Ebbero relazioni spirituali con lui anche il beato Vincenzo Romano e la venerabile Maria Clotilde di Savoia in esilio a Napoli, il marito Carlo Emanuele IV e molti cardinali e vescovi. 


Rimase nel suo convento, quando le leggi napoleoniche nel 1809 soppressero il suo Ordine, ebbe il dono della profezia e visioni di avvenimenti lontani, miracoli e doni carismatici aumentarono la sua fama di santità, come l’arresto della lava eruttata dal Vesuvio nel 1804 e 1805. 

Simile nella giocondità a s. Filippo Neri, aveva come lui i misteriosi tremiti e le palpitazioni di cuore, durante la preghiera e la celebrazione della Messa, che officiava con un fervore da far stupire chi assisteva. 

S. Maria Francesca delle Cinque Piaghe diceva: “Due Filippo abbiamo uno nero e uno bianco” riferendosi alle qualità spirituali simili e anche ai due cognomi ‘Neri e Bianchi’. 

Negli ultimi tre anni, la celebrazione della Messa era l’unica azione che riusciva a fare, reggendosi in piedi sulle gambe orribilmente gonfie e piagate; morì a Napoli il 31 gennaio 1815. 

Già nel 1816 furono avviati i processi per la sua beatificazione; papa Leone XIII lo beatificò il 22 gennaio 1893 e papa Pio XII lo canonizzò il 21 ottobre 1951. 

Il suo corpo è conservato nella chiesa di Santa Maria di Caravaggio a Napoli, la sua festa liturgica è al 31 gennaio.

Autore:
Antonio Borrelli


Voir aussi : http://www.therealpresence.org/eucharst/misc/PHP/par_sfxm_bianchi.pdf

http://barnabiteholiness.blogspot.ca/p/saint-francis-xavier-bianchi.html